Devenez professeur(e) d'anglais certifié(e) et décrochez un poste de titulaire dans le secondaire (public / privé).
Découvrir la formationUn échec au CAPES d’anglais n’est jamais anodin. Mais il n’est pas une fin. Bien au contraire : il peut devenir le point de départ d’une reprise plus stratégique, plus lucide, et plus efficace. Car on ne prépare pas un concours comme un simple examen. Il ne s’agit pas seulement de « travailler plus », mais de comprendre ce qui n’a pas fonctionné, d’identifier les marges de progression, et de reconstruire un parcours de réussite.
Dans ce guide, découvrez 10 étapes concrètes pour rebondir : relire ses copies, analyser ses notes, renforcer ses bases, anticiper les oraux, adapter sa stratégie… Chaque point vous aide à transformer un revers en levier. Ce plan s’adresse à celles et ceux qui veulent gagner du temps, éviter les erreurs classiques, et aborder leur prochaine session avec méthode et lucidité.
Vous avez échoué cette année ? Voici comment réussir la prochaine.
Obtenir les copies que vous avez rendues lors des épreuves écrites est une étape décisive pour comprendre vos points de fragilité, structurer votre reprise et enclencher un travail ciblé de remédiation.
En les relisant avec recul, dans un contexte apaisé, vous pourrez :
– analyser objectivement votre raisonnement et vos choix méthodologiques
– identifier vos points forts, souvent éclipsés par le verdict final
– repérer les faiblesses récurrentes : imprécisions lexicales, manque de structuration, maladresses interprétatives, ou encore références insuffisamment mobilisées
Même si les copies sont transmises sans annotation, conformément à la réglementation des concours de la fonction publique, leur lecture reste riche d’enseignements. Elle gagne en efficacité lorsqu’elle est accompagnée d’un regard professionnel extérieur.
Car on voit rarement ses propres erreurs : un professeur référent formé à la correction des concours saura vous aider à comprendre ce qui n’a pas convaincu le jury. Il vous guidera dans une relecture active, pointant les éléments implicites du raisonnement évaluatif – ceux qui, justement, ne sont pas toujours visibles à première vue pour le candidat. Si vous rejoignez la préparation annuelle au CAPES d’anglais avec The League English School, pensez à déposer votre copie sur la plateforme pédagogique dès réception. Votre professeur référent pourra ainsi vous proposer une analyse personnalisée, première étape d’un travail de fond vers la réussite.
La procédure est simple et gratuite. Elle s’effectue par mail à l’adresse suivante :
copie-dgrhd3 [arobase] education.gouv [point] fr. Comme précisé sur le site du Ministère de l’Éducation nationale (source officielle ici), votre message doit mentionner :
– votre nom de naissance
– votre numéro de candidat Cyclades
– l’intitulé précis du concours (ex. : CAPES externe, section anglais)
L’envoi s’effectue uniquement après la publication officielle des résultats d’admission, à partir de septembre. Le traitement des demandes peut prendre plusieurs semaines, les services de la DGRH les traitant dans l’ordre chronologique de réception.
Le relevé de notes est un document essentiel pour évaluer précisément votre positionnement par rapport aux attendus du concours. Il permet de comparer vos résultats à la barre d’admissibilité, à la moyenne des admissibles ou des admis, et d’identifier des écarts significatifs entre les différentes épreuves.
La barre d’admissibilité correspond au seuil minimal de points requis pour accéder à l’oral, déterminé chaque année par le jury. Elle varie selon le nombre de postes ouverts, le niveau général des copies et la proportion de candidats admissibles souhaitée. La barre d’admission correspond au total de points obtenus (écrits + oraux) par le dernier candidat admis. Elle représente donc le seuil minimal d’admission globale. En complément, les jurys publient parfois la moyenne d’admission à l’oral, c’est-à-dire la moyenne obtenue aux épreuves orales par l’ensemble des candidats finalement admis. Cette donnée permet d’évaluer le niveau moyen des lauréats à l’oral, indépendamment des écarts de performance à l’écrit.
Il est important de ne pas confondre la barre et la moyenne. La barre correspond à la note du dernier admis (le “seuil plancher”), tandis que la moyenne reflète un niveau général. Ainsi, une note juste au-dessus de la barre d'admissibilité n’indique pas une performance solide, mais un passage en limite de classement. À l’inverse, une moyenne nationale bien supérieure à votre note peut signaler un réel écart à combler. Ces données sont mises à jour chaque année et font l’objet d’une synthèse détaillée dans notre article CAPES d’anglais : taux de réussite, difficulté, classements et notes moyennes.
C’est en analysant l’écart entre vos notes et ces repères nationaux que vous pourrez déterminer :
– si vous avez été proche ou éloigné du seuil
– si vos lacunes sont ponctuelles ou structurelles
– quelle épreuve a posé problème (et nécessite donc une reprise ciblée)
Par exemple, une note très basse en composition au CAPES Externe peut signaler un problème de hors-sujet ou de problématisation insuffisante. De même, une note éliminatoire (fixée à 0 ou moins de 5/20) sanctionne une erreur majeure type copie inachevée, qui rend le candidat non recevable, indépendamment des résultats obtenus ailleurs. Si l’oral a été passé mais qu’une note nettement inférieure est observée sur l’épreuve de leçon, cela peut orienter vers un travail en didactique et en structuration pédagogique.
La consultation du relevé s’effectue directement sur votre compte personnel Cyclades, dans l’onglet “Mes documents”, après la publication des résultats:
– Les candidats non admissibles peuvent consulter leurs notes dès l’annonce des résultats d’admissibilité.
– Les candidats admissibles accèdent à leur relevé complet uniquement après la publication des résultats d’admission.
Ce document précise pour chaque épreuve :
– votre note individuelle
– la moyenne des candidats admissibles ou admis
Conservez ce relevé précieusement : il constitue la base de votre stratégie de reprise, et pourra également être transmis à votre référent pédagogique pour un accompagnement CAPES ciblé chez The League English School.
Se préparer seul au CAPES peut sembler économique. Mais c’est souvent un pari risqué – et, bien souvent, une perte de temps. En cas d’échec, le véritable enjeu n’est pas seulement moral ou pédagogique : c’est aussi le risque de devoir renoncer une année de plus au statut, au salaire, à la stabilité, à la progression de carrière et aux avantages sociaux liés au métier de professeur certifié.
S’ajoute à cela un contexte de concurrence renforcée : selon notre analyse complète des données du CAPES depuis 2022, le nombre de postes ouverts dans le public comme de contrats dans le privé stagne voire diminue, tandis que le nombre de candidats présents aux épreuves est en hausse. Les marges de réussite se resserrent. Chaque point compte. Chaque mois de préparation aussi.
C’est pourquoi un encadrement structuré et personnalisé devient un choix stratégique. Une prépa spécialisée comme The League English School connaît les attendus des jurys, les pièges fréquents, et les critères implicites qui font toute la différence à l’écrit comme à l’oral.
Au-delà des supports de cours, c’est la présence régulière d’un professeur expert qui fait la différence :
Un livre, aussi bien conçu soit-il, ne vous dira jamais si vous êtes clair, pertinent ou méthodologiquement solide. Seul un formateur peut vous corriger, vous recadrer, vous orienter. Chez The League, une même notion clé est abordée sous plusieurs angles, puis appliquée dans différents exercices et corrigés types. L’objectif est simple : que chaque concept soit véritablement maîtrisé, durablement.
Des dizaines d’heures de cours en direct sont proposées chaque année, ainsi qu’un suivi individualisé de vos travaux. L’équipe pédagogique analyse vos copies, corrige vos plans, vous entraîne à l’oral, et vous aide à progresser sur le fond comme sur la forme.
Bon à savoir
Plus de la moitié des inscrits au CAPES d’anglais ne se présentent finalement pas aux épreuves. Pourquoi ? Parce qu’ils réalisent trop tard qu’ils ne sont pas prêts. Ils renoncent dans les dernières semaines, faute de méthode, de régularité, ou simplement de soutien. La réussite au concours demande aussi de l’humilité. Il ne suffit pas d’écouter les conseils de collègues certifiés ou de s’inspirer des témoignages de lauréats récents : chaque parcours est unique, chaque faille est différente, et ce qui a marché pour un autre ne fonctionnera pas nécessairement pour vous. C’est précisément là qu’intervient le rôle des professeurs de The League : vous accompagner, vous soutenir, vous corriger, vous écouter, vous remotiver – dans une logique pédagogique construite et adaptée à vos besoins.
Un candidat qui maîtrise les repères essentiels du monde anglophone n’est jamais pris au dépourvu. Même face à un sujet inattendu, il sait rebondir, raccrocher les idées entre elles, et proposer un développement structuré, sans tomber dans l’approximation ou le hors-sujet. À l’écrit, cela permet d’éviter la page blanche, l’impasse méthodologique ou les erreurs grossières qui mènent à une note éliminatoire. À l’oral, cela donne au candidat la capacité d’orienter subtilement l’échange, d’illustrer ses propos avec des références solides, et de reprendre le contrôle en cas de question déstabilisante.
Un bon niveau disciplinaire n’est pas un luxe : c’est une condition de sécurité. Ce socle culturel est ce qui vous permet de rester lucide et maître de vous-même le jour J.
C’est précisément ce que propose la formation CAPES d’anglais chez The League English School : construire des bases solides, organisées, durables, dans ces trois domaines clés du concours :
– la civilisation (histoire, politique, société, institutions du monde anglophone),
– la littérature (mouvements, genres, auteurs, œuvres majeures),
– et l’actualité internationale, indispensable à l’oral comme en didactique.
Chaque thème abordé en cours est accompagné de plusieurs supports structurés :
L’objectif est clair : être capable d’illustrer n’importe quelle idée avec un exemple concret, pertinent, bien formulé. Cette aisance culturelle est ce qui distingue les candidats solides des candidats brillants.
Chaque année, de nombreux candidats sont pris de court. Ils ne s’attendaient pas à être admissibles, pensaient “avoir raté” les écrits… et découvrent trop tard qu’ils ont désormais seulement 45 jours pour se préparer aux épreuves orales. Un délai extrêmement court, surtout pour des épreuves aussi exigeantes. Les dates précises sont rappelées dans notre calendrier détaillé du concours CAPES.
Anticiper est donc essentiel. On ne s’improvise pas prêt pour un entretien en anglais face au jury. On ne s’invente pas une oreille entraînée à reconnaître les accents du monde anglophone. Et l’on n’assimile pas, en quelques jours, les grilles d’analyse du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues), incontournables pour l’épreuve de leçon.
Chez The League English School, les oraux sont préparés en continu dès le début de l’année, bien avant les résultats d’admissibilité. Pourquoi ? Parce qu’être admissible ne laisse pas le temps de tout découvrir. Il faut déjà être prêt.
Chaque semaine, les cours intègrent des podcasts enregistrés par des locuteurs anglophones du monde entier. L’objectif est simple :
– habituer votre oreille à des accents variés (États-Unis, Royaume-Uni, Irlande, Canada, Afrique anglophone, Inde, Australie…)
– vous entraîner à reconnaître des mots connus dans une prononciation différente
– déjouer les pièges de compréhension liés à l’intonation ou au débit naturel
En parallèle, les séances de didactique abordent progressivement les attentes précises du jury à l’oral : formulation d’objectifs, articulation des compétences, analyse CECRL, logique de progression, justification pédagogique… L’oral ne s’improvise pas. Il se construit mois après mois. Ceux qui attendent les résultats d’admissibilité pour s’y mettre sont, bien souvent, ceux qui renoncent ou échouent – non par manque de niveau, mais par manque d’anticipation.
Connaître les grands principes didactiques, c’est bien. Savoir les appliquer en classe, c’est mieux. Et c’est souvent ce qui fait la différence à l’oral du concours ou dans un dossier RAEP : le lien concret entre théorie et pratique, entre l’élève et la salle de classe.
Même sans être titularisé, il existe plusieurs moyens de mettre un pied dans l’enseignement :
– en devenant contractuel(le) dans le second degré public ou privé
– en effectuant un stage de professionnalisation (même de courte durée)
– en travaillant dans le périscolaire ou le soutien scolaire encadré
– en organisant un séjour linguistique, un club d’anglais ou un atelier culturel
Chaque séquence conçue, chaque séance animée, chaque retour d’élève devient un exemple concret que vous pourrez valoriser :
– dans votre dossier RAEP pour l’interne ou le troisième concours
– à l’oral du concours externe, pour illustrer ou justifier vos choix pédagogiques au moment de la leçon
– ou dans la fiche individuelle de renseignement (FIR), désormais transmise au jury avant l’entretien, et qui sert de support d’échange (voir notre article dédié).
Ce sont des preuves d’initiative, d’adaptabilité, de confrontation à la réalité du terrain, et donc des atouts décisifs face au jury, surtout lorsque le niveau académique entre les candidats est équivalent.
Il ne s’agit pas de tout miser sur la pratique.
Cette année supplémentaire est l’occasion de consolider vos savoirs, de structurer vos méthodes, et de monter en compétence avec rigueur. L’idéal reste donc de combiner expérience de terrain et formation solide – comme celle proposée chez The League English School, où vous apprenez à construire une progression, concevoir des séances, choisir des supports, justifier vos choix, et développer une réelle posture professionnelle. Entraînement pédagogique, retour d’expérience, montée en confiance : la pratique prépare l’oral autant que l’écrit. Et surtout, elle donne du sens à votre projet.
Un échec au CAPES ne signifie pas nécessairement que vous ne maîtrisez pas les savoirs attendus. Il reflète parfois des fragilités de méthode, d’organisation ou de posture, bien plus que de véritables lacunes disciplinaires.
Vous n’avez peut-être pas manqué de connaissances, mais :
– vous avez rendu une épreuve incomplète, par manque de gestion du temps
– vous avez perdu du temps sur le brouillon, faute d’une méthode claire de structuration
– vous avez développé certaines idées de manière déséquilibrée, sans hiérarchiser
– vous avez perdu vos moyens à l’oral, malgré un contenu solide
– ou simplement, vous avez mal interprété les attendus spécifiques du concours
C’est ici qu’il faut rappeler une distinction essentielle : un concours n’est pas un examen. Dans un examen, il suffit d’atteindre un niveau donné. Dans un concours, vous êtes classé face à d’autres, et seuls les meilleurs sont retenus. Il ne suffit donc pas “d’avoir la moyenne” : il faut optimiser sa performance, être rapide, précis, structuré, convaincant.
C’est pourquoi la formation CAPES de The League English School ne se limite pas à l’approfondissement des savoirs. Elle inclut aussi un travail stratégique et méthodologique sur chaque type d’épreuve :
– techniques de gestion du temps et de découpage du brouillon
– automatisation des réflexes d’analyse (documents, citations, supports audio-visuels)
– structuration rapide de plans et reformulation d’arguments
– entraînement à la prise de parole maîtrisée, claire, et sans digressions
– simulations d’oraux pour travailler la posture, l’élocution et la résistance au stress
C’est souvent sur ces dimensions “invisibles” que se joue la réussite. Deux candidats de niveau équivalent peuvent obtenir des notes radicalement différentes, simplement parce que l’un a su transformer ses connaissances en réponse efficace… et l’autre non.
Apprendre à performer est une compétence en soi. Et elle s’acquiert.
Un concours n’est pas le lieu de l’originalité à tout prix. Votre objectif, le jour J, n’est pas d’innover ni de vous distinguer outre mesure, mais de faire ce que le jury attend – clairement, efficacement, sans erreur. Dans un premier temps, il ne s’agit pas de “briller” mais d’assurer la moyenne pour passer la barre d'admissibilité, puis la barre d'admission.
Tenter quelque chose de nouveau le jour du concours est un pari risqué. Comme pour un marathon, on ne change pas de chaussures le jour J : on fait exactement ce que l’on a répété, corrigé, ajusté lors des épreuves blanches avec son professeur. C’est dans ce cadre d’entraînement – sûr, guidé, progressif – que vous testerez, corrigerez, consoliderez vos réflexes.
Si vous venez du secteur privé ou avez été contractuel(le), il faudra parfois désapprendre. Le concours valide une posture spécifique, un cadre méthodologique précis, une culture professionnelle propre à l’Éducation nationale. Cela implique d’intégrer les codes, les référentiels, les attentes implicites :
– les grilles du CECRL
– les programmes en vigueur
– les évolutions du métier (outils numériques, différenciation, inclusion…)
– la terminologie employée dans la formation des enseignants (INSPE, Master MEEF, etc.)
Une partie de ces attentes est formulée dans les rapports de jury, que nous analysons dans cet article. Mais beaucoup d’exigences sont implicites : elles ne sont jamais formulées, car considérées comme “allant de soi” pour ceux qui ont suivi un cursus classique. C’est précisément là que l’accompagnement d’une prépa spécialisée comme The League English School devient déterminant.
Il ne s’agit pas d’effacer votre personnalité. Il s’agit, dans un premier temps, de montrer que vous maîtrisez parfaitement les règles du jeu. Le jury ne cherche pas un génie isolé : il cherche un futur collègue opérationnel, formé, stable, et capable de s’insérer dans l’institution. Une fois certifié(e), vous aurez toute une carrière pour explorer, innover, créer. Mais pour réussir le concours, il faut commencer par cocher rigoureusement toutes les cases du profil attendu par le jury.
Échouer une première fois au CAPES n’a rien d’exceptionnel. C’est même la norme pour la majorité des candidats qui s’y présentent en autonomie. Le concours exige des compétences multiples, une méthodologie spécifique, une endurance intellectuelle et une régularité dans la préparation que l’on n’acquiert pas toujours seul, en quelques mois.
Il n’existe aucune limite au nombre de tentatives autorisées pour le CAPES d’Anglais. Vous pouvez vous présenter autant de fois que nécessaire. Et chaque session constitue une étape de progression :
– elle vous confronte aux épreuves réelles
– elle vous permet de récolter des notes de référence
– elle vous pousse à repérer vos axes d’amélioration
– elle vous familiarise avec le format, le stress, le rythme du concours
Mais ce constat a une contrepartie essentielle : la majorité des admis ne réussissent pas à leur première tentative. Et il est possible de le vérifier très concrètement : chaque candidat au concours dispose d’un numéro Cyclades à 11 chiffres, suivi de trois chiffres après un tiret. Ces trois derniers chiffres correspondent au nombre de participations au concours.
Exemples :
– 02XXXXXXXXX-001
→ première tentative
– 02XXXXXXXXX-002
→ deuxième tentative
– 02XXXXXXXXX-003
→ troisième tentative
En consultant les listes d’admission officielles, vous verrez que plus de la moitié des lauréats ont un numéro supérieur à 001. Ce simple constat doit faire réfléchir : ceux qui réussissent sont souvent ceux qui ont persévéré, et surtout, qui ont corrigé leur stratégie entre deux sessions. Ne vous contentez donc pas de “tenter pour voir” ou de “faire un test cette année”. Cela revient à gaspiller une session qui pourrait être décisive, si elle était préparée avec méthode.
Rejoindre une formation structurée, comme celle proposée par The League English School, vous fait gagner du temps :
– vous ciblez vos lacunes
– vous comprenez ce que le jury attend
– vous adoptez les bons réflexes
– vous évitez les erreurs classiques des candidats en autonomie
Et si vous êtes contractuel(le), n’oubliez pas que le temps joue contre vous. Un poste occupé sans titularisation peut vous être retiré du jour au lendemain, dès qu’un professeur certifié est nommé. Chaque année sans concours réussi fragilise votre situation.
Le CAPES n’est pas un tirage au sort. C’est un concours exigeant, mais accessible à condition d’être bien accompagné.
Il existe plusieurs modalités pour devenir professeur certifié d’anglais, avec des conditions variables selon votre profil, votre parcours professionnel, ou votre situation personnelle. Ce que l’on appelle communément "le CAPES" se décline en réalité en six voies d’accès, dont certaines peuvent se cumuler au fil des ans :
Il est possible de déposer un dossier RAEP pour le concours interne et de s'inscrire également aux épreuves écrites du concours externe OU du 3ème concours. En revanche, vous ne pouvez passer qu’une seule série d’écrits, car les épreuves du concours externe et du 3ᵉ concours ont lieu exactement au même moment, dans le même centre d’examen. Si vous êtes déclaré admissible à deux voies et que les oraux se chevauchent, vous devrez choisir.
Les statistiques officielles (voir notre article de synthèse sur les taux de réussite au CAPES d'anglais depuis 2022) montrent des écarts importants selon les voies :
Les conditions d'éligibilité varient selon la voie choisie :
Certaines situations donnent droit à une dispense de diplôme, quelle que soit la voie :
Changer de voie n’est ni un renoncement ni un recul, mais une adaptation stratégique. Beaucoup de candidats tentent plusieurs modalités avant d’être admis, en fonction de leur évolution professionnelle ou personnelle. Se spécialiser dans une voie mal adaptée peut vous faire perdre plusieurs années. À l’inverse, choisir une voie en tenant compte :
… peut faire toute la différence.
Oui, le CAPES est un concours national exigeant, sélectif et méthodologiquement très codifié. Il ne suffit pas d’avoir un bon niveau d’anglais : il faut aussi maîtriser les attentes précises du jury, les types d’épreuves (composition, traduction, leçon, entretien), les programmes, et la méthodologie académique attendue.
Mais ce concours reste accessible à condition d’être bien accompagné, bien préparé et stratégiquement entraîné. Ce sont souvent les candidats en autonomie qui échouent, non par manque de niveau, mais par absence de méthode et de recul sur leurs performances.
Il n’existe pas de niveau d’anglais officiel exigé en termes de CECRL, mais le niveau C1 est un minimum réaliste pour réussir les épreuves, en particulier à l’oral. Il faut pouvoir comprendre des documents complexes, s’exprimer avec aisance, structurer une argumentation précise et illustrée, et analyser des documents pédagogiques en contexte scolaire.
Mais le niveau disciplinaire ne suffit pas : il faut aussi connaître les codes du concours, maîtriser la didactique de l’anglais, et s’entraîner sur les épreuves types. C’est pourquoi une formation spécialisée reste le meilleur moyen de s’assurer que son niveau est non seulement bon, mais conforme aux attendus du CAPES.
Devenez professeur(e) d'anglais certifié(e) et décrochez un poste de titulaire dans le secondaire (public / privé).
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